[vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Psyonix
Genre : Sport
Joueur: 1 – 4 / Multi
Accessibilité: [/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 07/07/2015
Français: oui
Prix à la sortie: 20 euros (PC)
DLC: oui[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]
Développé par Psyonix, Rocket League est la suite de Supersonic Acrobatic Rocket-Powered Battle-Cars et reprend le même concept, celui du foot-car. Original s’il en est, le titre vous propose de faire un match de foot en bagnole tout en vous la mettant sévère. Que peut-on attendre d’un tel jeu ? La réponse c’est now !
ILS SONT FOUS CES BOLIDES
Parlons de suite des graphismes : c’est sympa mais ça ne casse pas trois pattes à un canard. Les arènes sont assez jolies mais certaines font un peu vides. Les voitures et effets d’explosion se laissent regarder sans pour autant être waouh. En jeu les effets sonores sont sympas, mais l’on pourra regretter que toutes les arènes ne bénéficient pas d’une ambiance digne d’une finale de catch, l’immersion n’en aurait été que plus intense. Enfin, l’interface du jeu est simple et soignée, rien à dire de ce côté-là.
AERIAL SINON RIEN
Le gameplay est simple : on contrôle un bolide dans une arène fermée et on doit pousser un ballon dans le but adverse. Dit comme ça, rien de compliqué, mais pourtant sous son air simplissime se cache une profondeur où seuls les plus skillés pourront briller. Vous pouvez secouer votre bolide dans toutes les directions, le jeter en avant ou en arrière, lui faire faire un bond vertigineux ou planer dans les airs, jouer avec les murs et les rebonds. En plus le sol de l’arène est parsemé de boules jaunes qui rempliront votre jauge de turbo, pratique pour aller plus vite, sauter plus haut, donner de la force à vos frappes, mais aussi pour démolir vos adversaires. En effet, après avoir franchi une certaine vitesse, vous pouvez détruire votre ennemi ! Bien qu’au départ ce soit juste fun et marrant, cela peut servir à défoncer un gardien ou à empêcher un adversaire de marquer. Le moteur physique du jeu est plutôt bon et permet d’avoir de réelles sensations de contrôle, de vitesse ou de toucher avec sa voiture. La physique de balle est quant à elle bien gérée, mais la majorité du temps le ballon se trouve en l’air. Il vous faudra donc manier les aerials (frappe en l’air) pour dominer le terrain. On peut d’ailleurs se demander pourquoi la balle ou la voiture mettent d’ailleurs autant de temps à redescendre… Gravité mal gérée ou réfléchie pour éviter que les aerials soient distillés trop facilement ? À vous d’en juger. Quoiqu’il en soit, les parties sont prenantes, haletantes et fun, et c’est bien là le plus important.
En outre, il vous est possible de customiser votre bolide grâce à des pièces glanées au fil des matchs (perdre ou gagner n’a pas d’importance). Vous pouvez changer le type de voiture (ce qui n’a pas d’impact), la peinture, les roues, les fanions, etc. les équipements ne sont toujours très beaux, m’enfin ça permet de personnaliser un peu ! Des DLCs esthétiques sont également présents si vous le souhaitez.
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BALLON ! PASSE !
Alors c’est bien joli tout ça mais qu’est-ce qu’on à faire dans ce jeu ? Et bien pas forcément grand-chose, le contenu n’est pas foufou mais les devs implémentent quelques features de temps à autres. Le moins intéressant est certainement le mode saison qui vous permet de jouer un championnat seul, avec et contre l’IA. Pas terrible vu que l’IA n’est pas incroyable et que vous ne vivrez jamais l’intensité du vrai Rocket League dans ce mode. Il est tout au plus un bon complément ou mode entraînement qu’il vous faudra faire avant de vous lancer en partie classée. Ce mode entraînement est vraiment bien foutu et vous apprendra les bases du jeu en douceur et en progression (gardien, shoot, shoot en l’air, turbo etc.). Une fois que vous aurez pris un peu confiance en vous, le multijoueurs sera là, d’abord en partie non-classée en 1vs1, 2vs2, 3vs3, 4vs4, puis en classée : 1vs1, 2vs2 ou 3vs3. Par ailleurs, suite à une MaJ le grand mutator, sorte d’éditeur, vous permettra de pas mal paramétrer vos parties (gravité de la balle, vitesse de jeu, jauge de turbo, durée du match…) afin de varier les plaisirs. Cependant, cela est réservé aux parties non-classées, et qui dit pas de points, dit rage quit à outrance, mais des joueurs peuvent rejoindre une partie déjà commencée pour compenser.
Enfin, le cross play entre joueurs PC et consoles est possible mais seulement pour joueur les uns contre les autres. Pas de groupement possible et cette option est désactivable dans les options. Au niveau des serveurs les temps d’attente sont assez court, ce qui permet d’enchaîner les parties. Par contre les adversaires ne sont pas toujours de notre niveau ce qui pose quelques questions sur le moteur de recherche. De plus, il est possible de jouer jusqu’à 4 en écran splitté et d’aller défier le reste du monde, un mode délaissé mais qui est présent ici et que l’on salue.
https://www.youtube.com/watch?v=dTA6sNJF_R0
DIEU QUE C’EST BON!
Un jeu que l’on a acheté entre potes juste comme ça et qui, au final, s’est révélé être le moment fun de nos soirées. Cris, joie, rigolades et chambre à deux balles, voilà ce que procure ce Rocket League, du fun du fun et encore du fun grâce à un gameplay simple mais profond. Jetez-vous sur ce titre et rendez-vous dans l’arène bande de plots !
[Test réalisé à partir de la version PC]
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