[vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Everything Unlimited Ltd
Genre : Narratif
Joueur: 1
Accessibilité: [/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 01/10/2015
Français: Sous-titré FR
Prix à la sortie: 8.99 euros (PC)
DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]Développé par le créateur de The Stanley Parable, The Beginner’s guide est un jeu, lui aussi, narratif. Cependant, il ne reprend pas tous les ingrédients du premier : ici pas d’humour ni de fausse liberté de choix, place à une histoire linéaire, triste, voire malsaine. Presque plus une expérience qu’un véritable jeu, que peut-on attendre de The Beginner’s Guide ?
ÉTRANGE CE SCÉNARIO
Je ne vais pas pouvoir vous en dire trop car c’est le cœur du jeu et vu qu’il n’est déjà pas très long, vous en dévoiler trop nuira certainement à votre expérience. Le but est de visiter une série de niveaux expérimentaux nourris au Source Engine, a priori créés par un dénommé Coda, ami développeur du narrateur.
La narration se déroule comme dans The Stanley Parable, une voix vous racontera anecdotes et histoires. Il s’agit de la voix de Davey Wreden en personne, créateur de ce jeu. On peu donc se poser la question de savoir s’il s’agit d’un partage d’un bout de vie, d’une fiction, d’un message pour une personne concernée ou un peu des trois… Toujours est-il que pour peu que l’on aime ce genre de jeu, l’immersion prend. Et entre des illustrations de game design et le partage de son ressenti personnel, le narrateur fait parfaitement son job. Malgré quelques parties un peu longuettes ou moins intéressantes, le jeu reste prenant tout du long (moins de 2 heures), et, rien que par curiosité, on a envie de savoir où va nous emmener ce voyage dans l’esprit torturé de Coda. Par ailleurs, contrairement à The Stanley Parable, il n’ aura pas de rejouabilité car ici pas de choix à faire ni de fins multiples.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=l0eVM-vLvbc » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]GAMEPLAY ?
Pour le gameplay pas grand chose à dire, on écoute, on marche et il y a très peu d’interaction. La seule action du joueur consiste à déplacer son personnage en vue subjective et à orienter la caméra pour mieux appréhender son environnement.
AMBIANCE CHELOU
La bande son du jeu est vraiment très réussie et les ambiances diverses sont très bien accompagnées par la musique. C’est d’ailleurs le son qui fait que l’immersion dans ce jeu est à la fois possible, prenante, voire émotionnelle.
Graphiquement, rien de spécial à dire car d’abord pour ce jeu ce n’est clairement pas important et aussi parce que le jeu se veut plus démonstratif que contemplatif.
HAPPY TO BE HERE ?
The beginner’s guide est une expérience particulière. Elle ne plaira pas à tout le monde c’est certain. A la fin du jeu je n’ai pas non plus vraiment cerné s’il s‘agissait d’un message perso du dev ou pas. Certaines parties sont plus intéressantes que d’autres mais globalement on se laisse emporter parce que, premièrement on n’a pas le choix et deuxièmement on veut savoir où va nous emmener ce jeu. A faire oui, mais par ceux qui aiment ce genre. Par contre je le répète cela n’a rien à voir avec the Stanley Parable.
[Test réalisé à partir de la version PC][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]