[vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Nippon Ichi Software
Genre : RPG, T-RPG
Joueur: 1
Accessibilités: [/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 28/10/2011
Français: Sous titré FR
Prix à la sortie: 70 euros (PS3)
DLC: oui[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]
Après un troisième volet en demi-teinte, l’une des licences phare de Nippon Ichi Software, revient avec DISGAEA 4 : A Promise Unforgotten. Considéré comme la référence du Tactique-RPG, la série des Disgaea semble peut être s’essouffler. En effet, Disgaea 3 a fortement marqué le pas en n’innovant que trop peu ou pas, graphismes dépassés et histoire sans intérêt, les fans de la série attendaient de pied ferme ce nouveau titre. Alors est ce que la série a enfin su retrouver ce qui faisait sa force ? La réponse dans ce test.
ANGES ET DÉMONS
Comme dans tous les autres épisodes, l’histoire prend place dans le sous-monde (the Netherworld) et notre héros sera une fois de plus un démon vampire nommé Valvatorez. Cet ancien tyran du sous monde vit maintenant une vie paisible dans les bas-fonds en tant qu’instructeur prinny. Cependant, suite à une infamie sans nom, un kidnapping de prinny, Valvatorez, qui tient toujours ses promesses, décident de partir à la rescousse de ces petites bêtes auxquelles il avait juré protection. Accompagné par son fidèle loup garou Fenrich et ses indispensables sardines, Valvatorez va donc tenter de rendre justice et va se retrouver mêler à des aventures et rebondissement qui bouleverseront le Netherworld. Toujours rempli d’humour et de jeux de mots le scénario est bien rythmé et se laisse découvrir sans aucun problème. La griffe NIS fait son effet, surtout que cette fois le visuel HD est bien là, adieu les polygones tout est lisse et fluide.
GESTION TACTIQUE
Le gameplay de DISGAEA 4 peut se découper en deux parties, d’abord la préparation des batailles et la gestion de l’équipe, puis les batailles en elles-mêmes.
Tout ce qui est gestion se passe du coté de notre base. On y trouve magasins d’armes et d’armures, d’objets et d’accessoires, l’infirmerie, le monde des objets (qui permet de faire progresser le niveau de vos pièces d’équipement et donc de les rendre plus puissant), le magasin de maléfice ou de sort…De la base on peut également accéder à notre QG électoral, sorte de carte quadrillée des différents champs de bataille de Disgaea, une fois un niveau terminé, une case se libère et on pourra en profiter pour effectuer plusieurs actions. En effet, c’est à partir de ce QG que l’on peut gérer notre armée : créer/supprimer un personnage, désigner un de nos membres comme gouverneur d’un territoire conquis, ce qui lui octroiera différent bonus, ou bien nommer des ministres qui ont tous un rôle différent et dont les capacités bonus ne sont pas à négliger. On pourra également placer des symboles impies, qui donneront des effets positifs à tous les membres étant placé dans la zone d’effet du symbole. Cet ajout peut paraître anecdotique mais cela permet de donner une dimension tactique et stratégique à la gestion de son équipe et rend le gameplay encore plus complet. Bref, vous l’aurez compris, dans DISGAEA 4 la préparation des combats est une partie du jeu à part entière.
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En ce qui concerne les combats, ils sont toujours aussi passionnants. Comme pour les autres opus, il s’agit de déplacer vos compagnons sur des champs de bataille quadrillés tout en massacrant vos adversaires à coups d’armes, de sorts ou de techniques spéciales. On retrouve tous les fondamentaux du gameplay qui a fait le succès de la série, nombreux combos, Géoblocs modifiant le terrain en donnant des effets positifs ou négatifs à qui est placé sur la case correspondante, ou la possibilité si originale de soulever alliés (attaque de la Tour) ou ennemis. Le personnage qui tue un ennemi gagne de l’expérience et du mana, nécessaire à l’apprentissage de nouveaux sorts et à leur utilisation. Deux nouveautés viennent enrichir la folie des combats : la Magimorph et le Combimorph. Le premier est le fait qu’un démon peut, pendant trois tours, se transformer en arme et être utiliser par un de vos compagnons humains, on peut en équiper deux à la fois à condition d’avoir un inventaire libre ce qui permettra d’attaquer deux fois. Le second est en fait un système de fusion démoniaque ou par exemple deux prinny combimorphés donneront un prinny géant. L’avantage est qu’il est plus puissant, l’inconvénient c’est qu’il est plus lent à se déplacer. De plus ces géants peuvent également se transformer en armes, ce qui donnera des effets assez dévastateurs. Bref ajoutez à cela les actions groupées entre vos membres, les effets et capacités spéciales données par vos symboles impies ou par vos ministères, et vous trouvez un gameplay aussi riche que complet. Et tout ceci ne sera pas de trop car la difficulté du jeu peut se montrer assez élevée sur certaines cartes, et il vous faudra parfois bien analyser la carte et bien réfléchir à vos actions pour finir le niveau.
VAISSEAUX PIRATES
En plus du mode offline déjà très long, DISGAEA 4 propose un mode de jeu en ligne. En effet, vous aurez la possibilité de créer vos pirates et votre vaisseau afin de partir à l’abordage du Monde des Objets des autres joueurs connectés. Vous pourrez donc affronter en duel les pirates d’un autre joueur. Cependant, ce n’est pas véritablement le joueur qui contrôle les pirates puisqu’il vous faudra inculquer une IA à vos pirates, en gros vous leur donnerez des ordres comme charger les ennemis rentrant dans tel périmètre, attaquer de loin les ennemis, mettre la priorité sur le soin etc… Chaque duel gagné sera récompensé par divers objets. Un classement des meilleurs pirates sera également disponible. Un mode assez limité il faut bien le dire, mais qui ravira les fans de duels ou ceux qui veulent avoir encore plus d’objets. Dernière nouveauté proposée par cet opus : la possibilité de créer ses propres cartes. En effet, le joueur dispose d’un éditeur de niveau que l’on peut ouvrir à partir de notre base. Tous les joueurs pourront faire partager leur création via le réseau. Bien que limité cet éditeur a le mérite d’exister.
DEMONS NEVER DIE
Disgaea revient avec un épisode plus travaillé que le troisième opus (qui reste le moins bon à mon avis). L’humour, l’histoire et les perso y sont plus attachants, de nouvelles fonctionnalités de gameplay ont été rajoutées, et l’item world est toujours aussi chronophage entre le besoin d’exp et les pirates…bref un épisode que je conseille à tous les fans de T-RPG
[Test réalisé à partir de la version PS3]
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